Fiche de présentation de Mickaël Méreau I - Votre personnage : Vrai Nom : Méreau
Vrai Prénom : Mickaël
Faux Nom : Julien
Faux Prénom : Drubat
Surnom : -
Jour et Lieu de Naissance : 10 Janvier 1984 - Londres
Nationalité Actuelle: Anglo-française
Groupe : Enquêteur
Camp: Son propre camp. Il a une morale et une justice qui lui sont propres, et n'éprouve aucune confiance envers les forces de l'ordre.
II - Descriptions : Physique : Peu d'hommes disposent de sa carrure, de sa stature, de sa musculature, de son armature. L'individu est taillé pour faire soldat, et il le sut bien assez tôt. Mesurant près d'un mètre quatre-vingt-quinze pour quatre-vingt cinq kilos, il fait office de colosse auprès de ceux qui le croisent.
Mickaël Méreau n'est pas beau. Juste séduisant.Taillé dans un bloc de granit, de son corps émerge un puissant cou, qui lui même est prolongé par un visage d'homme aux traits virils. Un nez basique, des lèvres constamment fermées en une bouche large qui ne s'ouvre que lorsqu'il parle, ou lors de ses rares moments de rires ou de sourires, composent un masque permanent d'impassibilité, l'individu étant assez sérieux. En de rares moments, significatifs, ses émotions se dévoilent, tantôt par un rire, tantôt par une crispation, tantôt par une colère, tantôt par une euphorie, ou une joie. Ses yeux, d'un bleu gris acier, semblent évoquer une détermination sans faille, ainsi que, plus discrète, une blessure secrète. Son regard est étrange, et puissant: on y trouve une impression de force, un éclat de volonté, qui fait que quiconque le croise est généralement subitement rassuré, détendu, calme. Ou effrayé s'il est en colère. Sur ce visage tombe une crinière blonde, en bataille, qui se prolonge dans sa nuque, et couvre ses deux oreilles quasi-symétrique, ce qui fait que rares sont ceux ou celles qui les ont vues, hormis ses conquêtes d'un soir quelque peu curieuses.
Sa peau est blanche, mais se hâle facilement lorsqu'il s'expose au soleil, ce qui cependant se produit rarement sous le ciel brumeux londonnien.
Toujours vêtu de sombre, il porte la plupart du temps des costumes noirs ou gris foncé, le tout recouvert d'un long manteau sombre dans lequel on jurerait qu'il se dissimule continuellement. Pour courroner sa tenue du mystérieux ténébreux, il porte toujours un foular noir à bordures blanches autour du cou. Une chevalière sans initiales trône sur son majeur gauche, et une étrange gourmette en argent au nom de " Sarah " ne quitte jamais son poignet.
Particularité(s) : Probablement ses mensurations de géant. En outre, c'est un grand fumeur.
Caractère : Noble, est le premier mot pouvant venir à l'esprit lorsque l'on tente de définir moralement le Privé. Ses idéaux sont solides, et bons, du moins pour lui, et il ne se penche que sur des affaires qui correspondant à ses principes. Par conséquent, inutile de lui présenter une requête visant l'espionnage d'une femme préjugée adultère ou d'une mari soupçonné d'être volage. Son esprit est Droit, rien ne saurait le détourner de sa ligne de conduite fondamentale. Sa morale est spécifique: peu importe les intentions, tout acte a ses conséquences et ses natures. En fonction de cela, un acte condamnable reste condamnable qu'il soit parti d'une idée noble ou non. Après tout, ne dit-on pas que l'enfer est pavé de bonnes intentions ?
Indépendant serait le second mot. Il vit pour lui, par lui. Il a mit quelques temps avant de comprendre que vivre pour les autres n'est pas la bonne solution, sauf si l'on compte devenir candidat à la connerie ou à la déception. Agissant en fonction de ce qui l'intéresse et de ce qui lui est nécessaire, il se fout royalement des idées que les autres ont de lui et se fiche pas mal d'autre chose que lui-même.
Juste, le troisième. Il sait prendre rapidement des décisions, agir vite, et trancher quand le choix est crucial. Du temps de son service dans la Police londonnienne, il était apprécié par ses supérieurs par son aplomb et son sang-froid face à la précipitation ou aux changements de plans soudains. Il décèle rapidement les distinctions entre ce qui est judicieux et ce qui ne l'est pas. Le Noble et le Pervers, il n'en a que faire. C'est pour lui une force. C'est pour lui un fondement.
Intelligent et organisé, sont des mots qui conviennent. Il ne saurait être Juste sans disposer d'une certaine aptitude au calcul et à la réflexion. Il a souvent pensé, et n'a eu de cesse de conclure que l'Homme discret est l'Homme qui survit. Son intelligence prend le pas sur sa carrure corporelle lorsqu'il ouvre la bouche pour s'exprimer sur une affaire, et sa grande maîtrise de soi, son contrôle, en fait un être complet, humain. De plus, ses démarches investigatrices sont traitées de manière presque scientifique, d'une rigueur impressionante, à la limite de l'obsessionel. Il discute de ses informations lentement mais sûrement, et prend le temps d'analyser chacune des données dont il dispose.
Courageux et Glorieux chez lui ne sont pas forcément ses maîtres mots: son arme de fonction lorsqu'il servait dans la police ne lui a jamais servi et il refusait toute mission portant sur le risque de mort. Il ne cherche ni gloire ni reconnaissance. Il n'aime pas la foule, encore moins les rassemblements de masse tels que les mariages ou les anniversaires au cours desquels il pourrait être mis au premier plan.
En outre, on pourrait le qualifier de Mystérieux. Il ne parle jamais de lui, ou très peu. C'est quelque chose qui a facilement irrité ses collègues ou ceux désirant se faire passer pour ses amis: tandis qu'il écoutait patiemment leurs plaintes et les déboires de leur vie sentimentales, lui-même ne pipait mot et affichait une mine exaspéré lorsque les discours se terminaient. Il peut se montrer bourru, ronchon et abrupt si l'on l'ennuie top, ou du moins plus qu'il ne peut le supporter. Les rares personnes qui l'ont approché d'assez près pour l'appréhender ont pu comprendre qu'il souffrait de quelque chose. La réponse est connue par quelques-uns de ses anciens collègues et porte le doux nom de " Sarah ".
Particularité(s) : Ses airs d'ours dissimulant une âme écorchée.
III - Histoire :Johann Jenkiss, épouse Méreau, donna le jour à un petit Mickaël le 10 Janvier 1984. Paul Méreau, petit entrepreneur français ayant déménagé à Londres pour entamer une nouvelle vie, était tombé amoureux de la jolie Johann, infirmière à temps partiel dans un petit hôpital de banlieue, trois ans plus tôt.
Le bambin nacquit donc dans un environnement relativement modeste et anonyme, ce qui, probablement, conditionna sa nature.
Mickaël grandit entouré d'amour mais pas d'argent, ce qui ne comptait et ne compte toujours pas à ses yeux. Il s'avéra, à mesure que les années s'écoulaient, être un enfant complexe et distant, qui nouait peu d'amitié avec ses camarades de classe mais qui, lorsque cela se produisait, était d'une loyauté sans faille. Il récolatait des notes tout à fait honorables sans pour autant atteindre la tête de la classe, principalement parce qu'il se freinait lui-même, ne souhaitant pas être sous les feux de la rampe auprès du corps professoral, mais il se débrouillait suffisamment pour ne pas être le petit cancre populaire auprès de ses camarades de classe. En primaire, il n'était ni apprécié, ni refoulé par les autres.
L'entrée au collège changea quelque peu sa vie et la vision qu'il avait de celle-ci. Il découvrit sa faculté à se maintenair dans le lot sans fournir le moindre effort et consacra le temps gagné de la sorte à s'intéresser aux choses vraiment dignes d'intérêt, tel que ce qui se passait dans le monde ou encore ce qui s'était passé avant et qu'on avait encore du mal à clarifier. Il se révéla particulièrement précoce en matière de culture générale; même si l'on ne pouvait pas le qualifier de petit génie, loin de là.
A la fin du premier cycle secondaire, il n'y avait rien de plus à déclarer à son sujet.
L'entrée en second cycle constitua pour lui une véritable révélation: il plaisait aux demoiselles. Non pas parce qu'il était un beau gosse irrésistible, mais parce que de lui se dégageait un charisme étonnant et un charme insidueux, presque inqualifiable mais que ces jeunes filles pouvaient déceler sans problème. C'était un futur homme à femme, qui n'imposait pas de contraintes et s'intéressait aux désirs de ses partenaires. Avant l'obtention de son diplôme de fin d'études secondaires, il avait déjà eu de nombreuses aventures qui s'étaient terminées pour la plupart dans un lit à deux places.
Cela ne changea pas au cours de ses années universitaires. Pendant trois ans, il réalisa des études non pas brillantes, mais correctes, toujours en se retenant quelques peu sans vraiment se laisser aller, et pendant ses trois ans de Droit, il confirma sa position de séducteur malgré lui. Le lendemain de l'obtention de son diplôme universitaire, ses parents périrent dans un accident de voiture. Le responsable avait pris la fuite et on ne l'avait jamais retrouvé. Affaire classée. En tout et pour tout, Mickaël ne reçut que la chevalière en plaqué or à 10 marks que son père avait acheté quelques années auparavant.
Le choc fut brutal pour le jeune homme, qui se replia un peu plus sur lui-même et décida de résoudre ces problèmes de justice dans son pays. Sans grand espoir de retrouver celui qui avait causé la mort de ses parents, il s'engagea dans la police l'année de ses 22 ans, en tant que gardien de la paix. Son habileté et sa rigueur lui permirent de gravir rapidement, en quelques mois, des échelons et d'atteindre un poste au sein de la brigade criminelle de Londres. C'est là qu'il rencontra Sarah.
Le jeune femme avait deux ans de plus que lui. Elle était belle et grâcieuse, mais pas trop, et c'était très bien comme ça. D'un brun ambré, elle avait un regard noir de jais et le teint hâlé des méditerranéennes d'Europe. Ils firent équipe rapidement sur ordre de leur supérieur, et dès lors elle lui montra un grand intérêt. Tout d'abord, il se refusa à l'approcher, la jugeant superficielle, simplement du fait qu'elle se maquillait quelques peu et affichait des jupes particulièrement courtes, même en hiver. Mais lorsqu'il apprit à la connaître, il tombe peu à peu amoureux d'elle, et ce pour la première fois de sa vie.
La première nuit qu'il passa avec elle fut magique et il ne l'oublierait jamais. Ils vécurent trois mois de pur bonheur. Malheureusement, cela fut de courte durée. Au cours d'une intervention, elle fut mortellement blessée par balle, et elle périt alors qu'il la veillait sur son lit d'hôpital.
Mickaël Méreau ne se remit jamais de cette tragédie, et vola sa gourmette pour la mettre à son poignet. Dès lors, elle ne le quitta plus.
Il démissiona après avoir reçu des pressions de la part de ses supérieurs, qui ne le jugeaient plus " compétent " pour poursuivre sa carrière, pour la simple et bonne raison qu'il ne parlait plus à personne et faisait des coups en solo pour résoudre ses affaires, mettant de fait en danger sa propre vie, ainsi que le bon déroulement des enquêtes.
La même année arriva Kira, alors même qu'il montait une petit boîte d'investigation privée et qu'il s'installait dansu ne routine qui consistait à s'envoyeren l'air avec des filles d'un soir et travailler tranquillement, seul. Il ne s'en soucia d'abord pas, se contentant de répondre aux besoins de ceux qui recquiéraient ses services, puis, voyant la demande diminuer pour se stabiliser à un niveau constant relativement moyen, à la limite du négatif, il comprit que les agissement de ce prétendu " Dieu " mettaient à mal ses affaires et qu'il risquait de ne pas avoir assez de travail pour survivre. Il se foutait que le crime et la guerre diminuait partout dans le monde ainsi que du fait qu'une véritable religion dévouée à la vénération de " Kira la Justice " s'étendait. Il ne voyait que deux choses: Kira tuait, et lui nuisait. Deux bonnes raisons pour chercher à le rayer de sa liste de soucis. D'une part, parce que tuer était mal, et d'autre part... parce que l'ennuyer était mal également.
Il se plongea dès lors dans des dossiers et des revues de presse, ainsi que dans des documents que lui fournissaient un contact dans les services de police, un certain Henry Johanson qu'il avait toujours apprécié. L'affaire n'avançait pas vraiment et il se demandait si le fameux " L " en savait plus que lui, cependant il arriva rapidement à quelques conclusions. Pour tuer, Kira avait besoin d'un nom et d'un visage, et la seconde information, il la tenait de L lui-même, dont l'intervention avait été retransmise par la suite au monde entier: Kira se trouvait au Japon, dans la région du Kanto. Grâce à celui, il contacta l'une de ses connaissances dans le domaine de la falsification, et s'offrit des papiers au nom de Julien Drubat, qui serait un salarié dans une société londonnienne de type anonyme, donc relativement grande et détentrice de près de quelques millions de contrats à travers le monde. Il était donc impossible à qui que ce soit de vérifier toutes les bases de donnée pour retrouver un certain Drubat.
Après cela, il s'envola au Japon en compagnie de tous ses documents classés " affaire Kira " et ferma boutique piur une durée indéterminée, au grand dam de ses clients réguliers. Il resta six ans au Japon, sept ans au cours desquels l'affaire avança peu, et dont l'issue avait été la disparition pure et simple du tueur en série. " Light Yagami " était Kira, et il était mort. Mickaël ne comprit pas la réaction des millions de personnes de part le monde qui se lamentèrent pendant des semaines et des mois. C'était un tueur, bordel de merde.
Quelques mois après l'anniversaire qui avait conclu ses 29 années de vie, alors qu'il s'appretait à plier bagage pour rouvrir sa boîte d'invesigation à Londres, " Freedom " apparut, avec ses 100 victimes. Le nouveau Dieu.
Le monde avait soupiré de soulagement. Mickaël Méreau avait suivit le mouvement. Mais pas pour la même raison.
Lui, il comptait prendre sa revanche.
Et cette fois, trouver le tueur.
IV- Et vous ? : - Pseudo ou prénom : Z
- Âge : 17 ans
- Comment trouvez-vous le forum ? Très bon.
- Que pensez-vous du design ? Joli.
- Des choses à améliorer ? Je ne vois pas quoi.
- Faites-vous partie du forum Shinigami Note ? Pas du tout.
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